Souviens-toi quand j’etais soumise

Cet été, nous sommes retournés dans le centre naturiste français, au cap d’Agde. Mon mari et moi avons toujours eu une relation très ouverte, assumées et libertine. Marié, sans enfant, nous avons tout le loisir de faire ce qu’ils nous chantent quand on le souhaite, merci, je dois reconnaître que c’est fort agréable. Ce n’est pas la première fois que nous allons faire des vacances là-bas, au contraire, nous avons nos petites habitudes depuis douze ans.

Cette année, afin de pimenter nos soirées, j’ai demandé à mon époux, Tom, de me jouer un petit scénario pendant que je filmerais avec mon téléphone. Il s’agissait d’une scène de soumission, je voulais être en laisse, vêtu de cuir et me balader dans les ruelles du camp me provoquerai une excitation nouvelle et sans précédent. Il accepta de jouer le jeu.

La journée venue, nous avons trouvé la tenue adéquate dans une boutique d’objet coquin. Godemichés, fouets, martinets, perruques et autres ustensiles nous ont également charmé.
« Tu es prête pour le film » ? Me demanda Tom, j’étais tout excitée, et j’ai répondu :
« Depuis que je suis née », j’avais envie de le faire depuis des années, c’était un de mes fantasmes encore non réalisé. Mon souhait était alors de le vivre dans l’extase et l’accueil des émotions.
Nous avions déjà vécu quelque chose de similaire en Valais, en terre suisse avec une domina rencontrée sur un site d’escort payant, https://www.fgirl.ch/filles/suisse/sm/

Le début de l’expérience

 Il lança le film et il commença à se toucher. Je mouillais très fort dans ma tenue moulante en cuir noire. Je devais marcher à quatre pattes comme une chienne en quête de nourriture ou de m’accoupler, quelle expérience. J’avais terriblement envie de me doigter la chatte. Tom, dans une ruelle tranquille, sorti sa belle queue et après avoir fait quelques allers-retours dans ma bouche, il l’a introduit dans mon vagin bouillant de désir. Je me sentais rempli, soumise et chienne, tout le monde pouvait nous voir nous accoupler dans le plus simple appareil, il me défonça la chatte en levrette pendant cinq bonnes minutes avant de me remplir de sperme chaud. J’étais sa petite chose, il était mon maître, mon dominant, mon mal alpha. Je n’étais pas seulement une petite pute ou catin, non, j’étais complétement asservi à sa puissance. Il disait, je faisais, et il filmait tout. Excitant. On continua de jouer quelques minutes jusqu’à ce que je lui demande de me sodomiser tellement l’envie était présent.
Il me reprit à quatre pattes, mais pour me saillir l’anus. Il m’a défloré la rondelle en douceur comme il sait le faire. Mélangeant les coups profonds des coups légers. Notre attraction était incroyable. C’était un bel instant de magie. Un sextoy ne pourrait jamais rivaliser avec mon Tom. De plus, peut-être qu’un jour, vous aurez le plaisir et la joie de voir notre ébat coquin sur Youjizz ou YouPorn !

En attendant, nous avons remis le couvert à plusieurs occasions pendant nos vacances. Autant que possible, nous avons exhibé nos corps et nos parties intimes à de parfaits inconnus qui, visiblement, prenaient aussi beaucoup de bonheur à mater la scène érotique. Une bonne baise à l’ancienne. Je n’ai jamais été une travailleuse du sexe, mais je peux comprendre pourquoi certaines femmes se dirigent vers la prostitution. Le goût du sexe est pour certaines personnes une source d’énergie sans limites. J’ai partagé avec Tom des plans hot avec une sensualité sans égal. J’avais l’impression que chaque endroit parcouru devait être célébré par un orgasme. J’étais sa maîtresse, il était mon amant. On se livra à une débauche totale non-stop. Niquer, forniquer, s’emboîter et j’en passe. Nous pouvons dire que nous étions de véritable obsédé sexuel lors de cette virée au Cap d’Agde. Les scènes les plus salaces et obscènes ont été filmés en vidéo 4K et feront des heureux, amateur de porno et de branlette.
Qui sait, en revenant en Suisse, nous proposerons peut-être d’ouvrir un donjon SM afin de faire partager notre passion de la domination au plus grand nombre. La chose remarquable, au Cap d’Agde comme en Suisse, c’est que les amateurs et passionnés de ce genre de pratique sont tous PDG ou ont des postes à responsabilités. Raisons de plus pour s’atteler à la tâche et faire du réseau !

mimilemeaux

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