Les travailleuses de sexe sont les premières victimes des maladies contagieuses. Le Covid-19, le SIDA et toute autre maladie sexuellement transmissible peuvent ravager le corps de ces personnes.
Les dangers qui rôdent autour de ces travailleuses de sexe
En ce moment, il y a plein d’associations qui s’unissent pour aider ces travailleuses de sexe. La plus populaire est la fédération parapluie rouge, qui défend les droits des travailleurs de sexe, et qui a coordonné pour l’existence de la loi AVIA. Ces femmes ou hommes qui sont dans le domaine de l’industrie du sexe ont été trop méprisés par la société. Mais la pornographie est un produit qui se consomme bien auprès de la société et pas que par des hommes, mais des femmes et des couples surtout. Ce qu’il faut mettre au point est un programme de protection des mineurs à ce sujet.
Selon un interview d’une travailleuse de sexe durant le confinement, ils étaient en faillite à cette époque. Pas seulement au niveau des clients, mais surtout de ceux qui ont eu un contrat pour la couverture d’un magazine pornographique. Celles qui vont faire des films, et d’autres scénarios liés au sexe. C’est le côté de la prostitution qui se sont retrouvée sans revenu, alors que nombreuses sont des personnes à condition de vie difficile. Ces travailleurs de sexe ont eu des problèmes côté logement puisque les propriétaires qui hébergent les prostitués sont des proxénètes, donc la situation est très difficile. Les entreprises qui aident ces travailleuses de sexe ont pour but majeur de donner un statut professionnel à ces personnes.
Quelles ont été les aides offertes par les entreprises ?
La première est de permettre aux travailleuses de sexe d’avoir la possibilité d’un compte mutuel, puis d’une prévoyance sociale comme tout le monde, d’une assurance santé, d’une retraite, etc. Les travailleuses de sexe peuvent maintenant avoir un statut salarié. Des luttes contre la protection au niveau de quelques sites qui proposent des clients blacklistés, ou dangereux pouvant arriver jusqu’au Trafic des femmes. Une protection sécuritaire de ces prostitués qui sont obligés de se cacher dans un lieu sécurisé pour faire leur métier.
Que dit la loi AVIA ?
C’est vrai que de nombreux sites web se lancent dans la promotion de ces travailleuses de sexe. La loi de Laetitia Avia a été très claire là-dessus, c’est de bannir toutes les vidéos qui peuvent afficher une sorte de violence sexuelle. Il faut juste garder la chaîne dans son titre pornographique avec deux couples qui font l’amour et se partagent du bon temps. C’est la nécessité de consulter notre annuaire suisse des dominatrices pour les clients qui veulent une rencontre spécifique. Il est aussi marqué dans cette loi que les rapports sexuels se doivent d’être protégé.
En ce moment, la loi AVIA a changé cette filière proxénétisme. La règle de limiter les clients, d’ouvrir un lieu de rencontre pour eux, et une salle où ils peuvent travailler sans souci, est très correcte. Il y a maintenant, la possibilité de déposer une plainte sur un agresseur sexuel. Il est important que la travailleuse accepte le client et d’un autre côté le respect devra toujours se poser dans n’importe quel domaine.
C’est vrai que l’existence de la loi a élaboré un tableau de tarif de la prostitution qui a baissé, mais le travail est plus discipliné qu’auparavant.