Il n’y a pas de profil parfait dans la pratique de bdsm. Le seul point clé pour démarrer une pratique de bondage, et de sadomasochisme est d’avoir un esprit libre. Libre dans le sens où chaque étape a été bien étude et bien cadré pour arriver à un niveau d’excitation extrême. Il est sollicité de se préparer pour affronter les règles de bdsm.
S’informer avant de pratiquer le bdsm
BDSM est l’acronyme du Bondage, Domination, Sadisme et Masochiste. Ce sont toutes des pratiques anciennes qui ont été élaborées en secret par les couples. Depuis quelque temps, les jeunes se sont lancés dans cet univers, mais sous un style plus subtil. Ils se sont procuré des accessoires sexuels pour que chacune des deux parties puisse sentir le désir de faire les actes sans avoir le moindre souci ou doute que la personne n’aime pas. Mais pour que cela fonctionne sans faute il est important de suivre les quelques consignes suivantes.
Trouver un lieu plus intime et très romantique pour une soirée bdsm
Le choix du moment importe beaucoup pour avoir déjà cette impression d’être en parfaite intimité. Mieux vaut choisir la nuit pour cela. La nuit est déjà une atmosphère sombre ce qui va nous permettre de nous dévoiler sur notre façade plus osée, plus animale dans notre façon de parler, de s’habiller et dans notre comportement en général. Il est tout à fait correct d’accentuer le côté sombre en s’infiltrant dans la couette, et ce sera une ambiance purement privée. Mais même dans le noir, on ne peut pas s’empêcher se sentir la peau de l’un se frotter à nous, de l’odeur sortie de notre bouche encore bourrée de fraise, et toutes ces petites attentions s’accumulent pour faire du bien.
Pas de refus pour la sodomie et le sexe oral
Se laisser tenter par une pratique plus orientée sur le hard sexe est un programme que beaucoup des couples ont peur de faire. Ceci est dû à un problème psychologique provoqué par les films X de l’époque. Pour la sodomie, c’est une posture totalement excitante d’observer notre partenaire dans le dos superbement cambré. Maintenant, si vous êtes sur une des boutiques meubles bdsm le plus sérieux, vous pouvez constater que c’est une pratique totalement faisable et sans signe de dégoût.
Utiliser des accessoires plus excitants
La cravache est déjà l’outil fétiche du bdsm. Vous en avez plusieurs modèles, mais le plus extraordinaire est celui avec un embout plus large. Le but est que la personne entende le claquement de la cravache, pas la trace laissée par l’outil, mais le bruit.
Utiliser des menottes peut s’avérer une image plus convaincante que oui, nous sommes prisonniers de notre fantasme. C’est aussi une sorte d’expression disant qu’avec les mains liées, on se sent encore libre à l’intérieur.
La corde attachée et le coup de pendule sont douloureux certes, mais pour pas plus de 10 minutes, cela va accentuer la ruse de l’autre. Fâché, c’est sûr que le rôle va s’échanger et le jeu va s’intensifier du côté sensationnel.
Il suffit de se laisser emporter par le courant de la panique quand on fait du bdsm et d’avoir ce goût de risque qui peut vraiment nous activer dans toutes les activités que nous entamons.
